NICORETTE MICROTAB CITRON 2 mg, comprimé sublingual, boîte de 100
Retiré du marché le : 14/01/2019
Dernière révision : 16/06/2008
Taux de TVA : 10%
Laboratoire exploitant : JOHNSON ET JOHNSON SANTE BEAUTE FRANCE
- Traitement de la dépendance tabagique en soulageant les symptômes du sevrage nicotinique, notamment les envies irrésistibles de fumer chez les sujets désireux d'arrêter leur consommation de tabac.
- Une prise en charge adaptée favorise le taux de succès d'arrêt du tabac.
- Une prise en charge adaptée favorise le taux de succès d'arrêt du tabac.
- Hypersensibilité à la nicotine ou à l'un des excipients du comprimé sublingual.
- Infarctus récent du myocarde (dans les trois derniers mois).
- Angor instable ou progressif.
- Angor de Prinzmetal.
- Trouble du rythme cardiaque sévère.
- Accident vasculaire cérébral récent.
- NICORETTE MICROTAB CITRON contient de l'aspartam, une source de phénylalanine. Cela peut être nocif pour les patients présentant une phénylcétonurie.
- Infarctus récent du myocarde (dans les trois derniers mois).
- Angor instable ou progressif.
- Angor de Prinzmetal.
- Trouble du rythme cardiaque sévère.
- Accident vasculaire cérébral récent.
- NICORETTE MICROTAB CITRON contient de l'aspartam, une source de phénylalanine. Cela peut être nocif pour les patients présentant une phénylcétonurie.
- NICORETTE MICROTAB CITRON sera utilisé avec précaution en cas de pathologie cardiovasculaire sévère (artériopathie périphérique oblitérante, accident vasculaire cérébral, angor, insuffisance cardiaque décompensée), de vasospasme, d'hypertension artérielle non contrôlée, d'insuffisance hépatique sévère ou modérée, d'insuffisance rénale sévère, d'ulcère gastrique ou duodénal en évolution.
- La nicotine issue des traitements substitutifs ainsi que la nicotine inhalée avec la fumée de cigarette provoque la libération de catécholamines par les médullosurrénales. Aussi, NICORETTE MICROTAB CITRON, devra être administré avec précaution chez les patients présentant une hyperthyroïdie ou un phéochromocytome.
- L'arrêt du tabac peut nécessiter la diminution des doses d'insuline chez le patient diabétique.
- Les doses de nicotine tolérées par les sujets fumeurs adultes lors du traitement peuvent entraîner une intoxication aiguë et pouvant être fatale chez les jeunes enfants (voir rubrique surdosage).
- NICORETTE MICROTAB CITRON contient de l'aspartam, une source de phénylalanine. Cela peut être nocif pour les patients présentant une phénylcétonurie.
- Enfants et adolescents : NICORETTE MICROTAB CITRON ne doit pas être administré aux sujets de moins de 18 ans sans prescription médicale. Il n'y a pas de données concernant le traitement par NICORETTE MICROTAB CITRON chez les adolescents de moins de 18 ans.
- Grossesse : le tabagisme pendant la grossesse est associé à des risques tels que retard de croissance intra-utérin, naissance prématurée ou mort-né. L'arrêt du tabac est la seule manière efficace d'améliorer la santé de la mère et de celle de l'enfant. Plus l'abstinence sera précoce et meilleur sera le résultat. La nicotine passe la barrière placentaire et agit sur le système cardiovasculaire et les mouvements thoraciques du foetus. Les effets sur le système circulatoire sont dose-dépendants. Par conséquent, chez la femme enceinte, il convient de toujours recommander un arrêt complet de la consommation de tabac, sans traitement de substitution à la nicotine. Cependant, le risque encouru pour le foetus en cas de poursuite du tabagisme durant la grossesse, est bien supérieur à celui attendu lors d'un traitement de substitution nicotinique contrôlé dans le cadre d'une prise en charge globale. Par conséquent, en cas de grossesse chez une fumeuse très dépendante, l'utilisation des comprimés sublinguaux ne sera envisagée que sur prescription médicale.
- Allaitement : la nicotine passe facilement dans le lait maternel. Les taux de nicotine atteints peuvent, même aux doses thérapeutiques, avoir un retentissement chez le nourrisson. Par conséquent, NICORETTE MICROTAB CITRON doit être évité durant l'allaitement. Cependant, en cas d'échec de l'arrêt du tabac, les comprimés sublinguaux ne doivent être utilisés chez les femmes qui allaitent que sur avis médical. En cas d'utilisation d'un traitement de substitution nicotinique pendant l'allaitement, les comprimés sublinguaux doivent être pris juste après l'allaitement et pas pendant les deux heures le précédant.
- La nicotine issue des traitements substitutifs ainsi que la nicotine inhalée avec la fumée de cigarette provoque la libération de catécholamines par les médullosurrénales. Aussi, NICORETTE MICROTAB CITRON, devra être administré avec précaution chez les patients présentant une hyperthyroïdie ou un phéochromocytome.
- L'arrêt du tabac peut nécessiter la diminution des doses d'insuline chez le patient diabétique.
- Les doses de nicotine tolérées par les sujets fumeurs adultes lors du traitement peuvent entraîner une intoxication aiguë et pouvant être fatale chez les jeunes enfants (voir rubrique surdosage).
- NICORETTE MICROTAB CITRON contient de l'aspartam, une source de phénylalanine. Cela peut être nocif pour les patients présentant une phénylcétonurie.
- Enfants et adolescents : NICORETTE MICROTAB CITRON ne doit pas être administré aux sujets de moins de 18 ans sans prescription médicale. Il n'y a pas de données concernant le traitement par NICORETTE MICROTAB CITRON chez les adolescents de moins de 18 ans.
- Grossesse : le tabagisme pendant la grossesse est associé à des risques tels que retard de croissance intra-utérin, naissance prématurée ou mort-né. L'arrêt du tabac est la seule manière efficace d'améliorer la santé de la mère et de celle de l'enfant. Plus l'abstinence sera précoce et meilleur sera le résultat. La nicotine passe la barrière placentaire et agit sur le système cardiovasculaire et les mouvements thoraciques du foetus. Les effets sur le système circulatoire sont dose-dépendants. Par conséquent, chez la femme enceinte, il convient de toujours recommander un arrêt complet de la consommation de tabac, sans traitement de substitution à la nicotine. Cependant, le risque encouru pour le foetus en cas de poursuite du tabagisme durant la grossesse, est bien supérieur à celui attendu lors d'un traitement de substitution nicotinique contrôlé dans le cadre d'une prise en charge globale. Par conséquent, en cas de grossesse chez une fumeuse très dépendante, l'utilisation des comprimés sublinguaux ne sera envisagée que sur prescription médicale.
- Allaitement : la nicotine passe facilement dans le lait maternel. Les taux de nicotine atteints peuvent, même aux doses thérapeutiques, avoir un retentissement chez le nourrisson. Par conséquent, NICORETTE MICROTAB CITRON doit être évité durant l'allaitement. Cependant, en cas d'échec de l'arrêt du tabac, les comprimés sublinguaux ne doivent être utilisés chez les femmes qui allaitent que sur avis médical. En cas d'utilisation d'un traitement de substitution nicotinique pendant l'allaitement, les comprimés sublinguaux doivent être pris juste après l'allaitement et pas pendant les deux heures le précédant.
- NICORETTE MICROTAB CITRON peut entraîner des effets indésirables similaires à ceux observés avec la nicotine administrée par d'autres modes, ces effets sont dose-dépendants.
- La plupart des effets indésirables rapportés apparaissent dans les 3 ou 4 premières semaines après le début du traitement. Dans les premiers jours du traitement, une irritation de la bouche ou de la gorge peut apparaître. Dans la majorité des cas, les patients s'habituent rapidement à ces effets après quelques jours.
- Quelques symptômes tels qu'étourdissements, céphalées et insomnie peuvent être liés au sevrage tabagique.
- Une augmentation de l'apparition d'aphtes buccaux peut survenir après l'arrêt du tabac. La relation de causalité n'est pas clairement établie.
- Très fréquent (> = 1/10) ; fréquent (> = 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (> = 1/1000, < 1/100) ; rare (> = 1/10000, < 1/1000) ; très rare (< 1/10000), fréquence inconnue (ne peut être estimée à partir de données disponibles).
- Système nerveux central :
Fréquents : étourdissements, céphalées.
- Système gastro-intestinal :
Fréquents : nausées, vomissements, inconfort digestif, hoquet.
- Système respiratoire :
Fréquents : toux.
- Effets locaux et généraux :
Fréquents : maux de gorge et irritation de la bouche, sécheresse buccale, sensation de brûlure buccale, rhinite.
- Système cardiovasculaire :
. Fréquents : palpitations.
. Rares : fibrillation auriculaire réversible.
- La plupart des effets indésirables rapportés apparaissent dans les 3 ou 4 premières semaines après le début du traitement. Dans les premiers jours du traitement, une irritation de la bouche ou de la gorge peut apparaître. Dans la majorité des cas, les patients s'habituent rapidement à ces effets après quelques jours.
- Quelques symptômes tels qu'étourdissements, céphalées et insomnie peuvent être liés au sevrage tabagique.
- Une augmentation de l'apparition d'aphtes buccaux peut survenir après l'arrêt du tabac. La relation de causalité n'est pas clairement établie.
- Très fréquent (> = 1/10) ; fréquent (> = 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (> = 1/1000, < 1/100) ; rare (> = 1/10000, < 1/1000) ; très rare (< 1/10000), fréquence inconnue (ne peut être estimée à partir de données disponibles).
- Système nerveux central :
Fréquents : étourdissements, céphalées.
- Système gastro-intestinal :
Fréquents : nausées, vomissements, inconfort digestif, hoquet.
- Système respiratoire :
Fréquents : toux.
- Effets locaux et généraux :
Fréquents : maux de gorge et irritation de la bouche, sécheresse buccale, sensation de brûlure buccale, rhinite.
- Système cardiovasculaire :
. Fréquents : palpitations.
. Rares : fibrillation auriculaire réversible.
Grossesse :
Le tabagisme pendant la grossesse est associé à des risques tels que retard de croissance intra-utérin, naissance prématurée ou mort-né. L'arrêt du tabac est la seule manière efficace d'améliorer la santé de la mère et de celle de l'enfant. Plus l'abstinence sera précoce et meilleur sera le résultat.
La nicotine passe la barrière placentaire et agit sur le système cardiovasculaire et les mouvements thoraciques du foetus. Les effets sur le système circulatoire sont dose-dépendants.
Par conséquent, chez la femme enceinte, il convient de toujours recommander un arrêt complet de la consommation de tabac, sans traitement de substitution à la nicotine. Cependant, le risque encouru pour le foetus en cas de poursuite du tabagisme durant la grossesse, est bien supérieur à celui attendu lors d'un traitement de substitution nicotinique contrôlé dans le cadre d'une prise en charge globale. Par conséquent, en cas de grossesse chez une fumeuse très dépendante, l'utilisation des comprimés sublinguaux ne sera envisagée que sur prescription médicale.
Allaitement :
La nicotine passe facilement dans le lait maternel. Les taux de nicotine atteints peuvent, même aux doses thérapeutiques, avoir un retentissement chez le nourrisson. Par conséquent, NICORETTE MICROTAB CITRON doit être évité durant l'allaitement.
Cependant, en cas d'échec de l'arrêt du tabac, les comprimés sublinguaux ne doivent être utilisés chez les femmes qui allaitent que sur avis médical. En cas d'utilisation d'un traitement de substitution nicotinique pendant l'allaitement, les comprimés sublinguaux doivent être pris juste après l'allaitement et pas pendant les deux heures le précédant.
Le tabagisme pendant la grossesse est associé à des risques tels que retard de croissance intra-utérin, naissance prématurée ou mort-né. L'arrêt du tabac est la seule manière efficace d'améliorer la santé de la mère et de celle de l'enfant. Plus l'abstinence sera précoce et meilleur sera le résultat.
La nicotine passe la barrière placentaire et agit sur le système cardiovasculaire et les mouvements thoraciques du foetus. Les effets sur le système circulatoire sont dose-dépendants.
Par conséquent, chez la femme enceinte, il convient de toujours recommander un arrêt complet de la consommation de tabac, sans traitement de substitution à la nicotine. Cependant, le risque encouru pour le foetus en cas de poursuite du tabagisme durant la grossesse, est bien supérieur à celui attendu lors d'un traitement de substitution nicotinique contrôlé dans le cadre d'une prise en charge globale. Par conséquent, en cas de grossesse chez une fumeuse très dépendante, l'utilisation des comprimés sublinguaux ne sera envisagée que sur prescription médicale.
Allaitement :
La nicotine passe facilement dans le lait maternel. Les taux de nicotine atteints peuvent, même aux doses thérapeutiques, avoir un retentissement chez le nourrisson. Par conséquent, NICORETTE MICROTAB CITRON doit être évité durant l'allaitement.
Cependant, en cas d'échec de l'arrêt du tabac, les comprimés sublinguaux ne doivent être utilisés chez les femmes qui allaitent que sur avis médical. En cas d'utilisation d'un traitement de substitution nicotinique pendant l'allaitement, les comprimés sublinguaux doivent être pris juste après l'allaitement et pas pendant les deux heures le précédant.
- Le tabagisme (mais pas la nicotine) peut entraîner l'induction enzymatique du cytochrome CYP1A2. A l'arrêt du tabac, la clairance des substrats de cette enzyme peut être diminuée. Avec les produits dont la marge thérapeutique est faible tels que la théophylline, la tacrine, la clozapine et le ropinirole, il peut ainsi être observé une augmentation des taux plasmatiques pouvant être à l'origine de conséquences cliniques.
- Il est possible que les concentrations plasmatiques d'autres produits partiellement métabolisés par le cytochrome CYP1A2, telles qu'imipramine, olanzapine, clomipramine, et fluvoxamine, soient également augmentées lors de l'arrêt du tabac. Néanmoins, il n'existe pas de données évaluant cet effet et son retentissement clinique.
- Le tabagisme semble entraîner une augmentation du métabolisme du flécaïnide et de la pentazocine
- Il est possible que les concentrations plasmatiques d'autres produits partiellement métabolisés par le cytochrome CYP1A2, telles qu'imipramine, olanzapine, clomipramine, et fluvoxamine, soient également augmentées lors de l'arrêt du tabac. Néanmoins, il n'existe pas de données évaluant cet effet et son retentissement clinique.
- Le tabagisme semble entraîner une augmentation du métabolisme du flécaïnide et de la pentazocine
- Enfants et adolescents :
NICORETTE MICROTAB CITRON ne doit pas être administré aux sujets de moins de 18 ans sans prescription médicale. Il n'y a pas de données concernant le traitement par NICORETTE MICROTAB CITRON chez les adolescents de moins de 18 ans.
- Le patient devra arrêter complètement de fumer pendant son traitement par NICORETTE MICROTAB CITRON.
- Adultes et sujets âgés :
. NICORETTE MICROTAB CITRON doit être placé sous la langue, où il se dissout lentement (environ 30 minutes).
. La posologie initiale est individuelle et sera fonction de la dépendance du patient à la nicotine.
. Il est recommandé aux fumeurs peu dépendants (voir Test de Fagerström ou fumant moins de 20 cigarettes par jour) d'utiliser les comprimés dosés à 2 mg. Chez les fumeurs très dépendants (voir Test de Fagerström ou fumant plus de 20 cigarettes par jour) ou chez les patients ayant déjà échoué dans leur tentative d'arrêt du tabac avec les comprimés dosés à 2 mg, il est recommandé d'utiliser les comprimés dosés à 4 mg.
. La posologie initiale est de 1 comprimé toutes les 1 à 2 heures : en général, 8 à 12 comprimés par jour sont suffisants. Deux comprimés de 2 mg peuvent être utilisés à la place d'un comprimé de 4 mg.
Ne pas dépasser 30 comprimés sublinguaux à 2 mg par jour.
. La durée du traitement est individuelle, mais est environ de 2 à 3 mois. La prise quotidienne de comprimés sera ensuite progressivement réduite. Le traitement sera arrêté quand la posologie est réduite à 1 à 2 comprimés par jour. Tous les comprimés non utilisés devront être conservés, car une envie irrépressible de fumer peut survenir subitement.
. En général, il est recommandé de ne pas utiliser de façon régulière NICORETTE MICROTAB CITRON au-delà de 6 mois. Cependant une durée de traitement plus longue pourrait être nécessaire chez quelques "ex-fumeurs" pour éviter une rechute.
NICORETTE MICROTAB CITRON ne doit pas être administré aux sujets de moins de 18 ans sans prescription médicale. Il n'y a pas de données concernant le traitement par NICORETTE MICROTAB CITRON chez les adolescents de moins de 18 ans.
- Le patient devra arrêter complètement de fumer pendant son traitement par NICORETTE MICROTAB CITRON.
- Adultes et sujets âgés :
. NICORETTE MICROTAB CITRON doit être placé sous la langue, où il se dissout lentement (environ 30 minutes).
. La posologie initiale est individuelle et sera fonction de la dépendance du patient à la nicotine.
. Il est recommandé aux fumeurs peu dépendants (voir Test de Fagerström ou fumant moins de 20 cigarettes par jour) d'utiliser les comprimés dosés à 2 mg. Chez les fumeurs très dépendants (voir Test de Fagerström ou fumant plus de 20 cigarettes par jour) ou chez les patients ayant déjà échoué dans leur tentative d'arrêt du tabac avec les comprimés dosés à 2 mg, il est recommandé d'utiliser les comprimés dosés à 4 mg.
. La posologie initiale est de 1 comprimé toutes les 1 à 2 heures : en général, 8 à 12 comprimés par jour sont suffisants. Deux comprimés de 2 mg peuvent être utilisés à la place d'un comprimé de 4 mg.
Ne pas dépasser 30 comprimés sublinguaux à 2 mg par jour.
. La durée du traitement est individuelle, mais est environ de 2 à 3 mois. La prise quotidienne de comprimés sera ensuite progressivement réduite. Le traitement sera arrêté quand la posologie est réduite à 1 à 2 comprimés par jour. Tous les comprimés non utilisés devront être conservés, car une envie irrépressible de fumer peut survenir subitement.
. En général, il est recommandé de ne pas utiliser de façon régulière NICORETTE MICROTAB CITRON au-delà de 6 mois. Cependant une durée de traitement plus longue pourrait être nécessaire chez quelques "ex-fumeurs" pour éviter une rechute.
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
Pas de précautions particulières de conservation.
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
Pas de précautions particulières de conservation.
Sans objet.
- Des symptômes de surdosage à la nicotine peuvent apparaître chez les patients qui avaient des apports faibles en nicotine avant le traitement ou qui utilisent en même temps d'autres sources de nicotine.
- Les symptômes de surdosage sont ceux d'une intoxication aiguë à la nicotine incluant nausées, hypersalivation, douleurs abdominales, diarrhées, sueurs, céphalées, étourdissements, troubles de l'audition et faiblesse générale. A doses élevées, ces symptômes peuvent être accompagnés d'une hypotension, un pouls faible et irrégulier, une gêne respiratoire, une prostration, un collapsus cardiovasculaire et de convulsions.
- Les doses de nicotine tolérées par les sujets fumeurs adultes lors du traitement peuvent entraîner une intoxication aiguë et pouvant être fatale chez les jeunes enfants.
- Conduite à tenir en cas de surdosage : l'administration de nicotine doit être interrompue immédiatement et un traitement symptomatique sera instauré.
Le charbon activé réduit l'absorption gastro-intestinale de la nicotine.
- La dose minimale létale de nicotine administrée par voie orale chez l'homme est de l'ordre de 40 à 60 mg.
- Les symptômes de surdosage sont ceux d'une intoxication aiguë à la nicotine incluant nausées, hypersalivation, douleurs abdominales, diarrhées, sueurs, céphalées, étourdissements, troubles de l'audition et faiblesse générale. A doses élevées, ces symptômes peuvent être accompagnés d'une hypotension, un pouls faible et irrégulier, une gêne respiratoire, une prostration, un collapsus cardiovasculaire et de convulsions.
- Les doses de nicotine tolérées par les sujets fumeurs adultes lors du traitement peuvent entraîner une intoxication aiguë et pouvant être fatale chez les jeunes enfants.
- Conduite à tenir en cas de surdosage : l'administration de nicotine doit être interrompue immédiatement et un traitement symptomatique sera instauré.
Le charbon activé réduit l'absorption gastro-intestinale de la nicotine.
- La dose minimale létale de nicotine administrée par voie orale chez l'homme est de l'ordre de 40 à 60 mg.
Classe pharmacothérapeutique : MEDICAMENT UTILISE DANS LA DEPENDANCE A LA NICOTINE, code ATC : N07BA01.
- La nicotine est un agoniste des récepteurs nicotiniques du système nerveux central et périphérique et entraîne des effets cardiovasculaires et des effets au niveau du système nerveux central.
- L'arrêt brutal de la consommation de tabac après un usage journalier et prolongé entraîne un syndrome de sevrage comprenant au moins quatre des symptômes suivants : dysphorie ou humeur dépressive, insomnie, irritabilité, sentiment de frustration ou de colère, anxiété, difficulté de concentration, agitation ou impatience, ralentissement du rythme cardiaque, augmentation de l'appétit ou prise de poids. Le besoin impérieux de nicotine est un élément important du syndrome de sevrage après l'arrêt du tabac.
- Les études cliniques ont montré que les produits de substitution nicotinique peuvent aider les fumeurs à s'abstenir de fumer en diminuant les symptômes de sevrage.
- La nicotine est un agoniste des récepteurs nicotiniques du système nerveux central et périphérique et entraîne des effets cardiovasculaires et des effets au niveau du système nerveux central.
- L'arrêt brutal de la consommation de tabac après un usage journalier et prolongé entraîne un syndrome de sevrage comprenant au moins quatre des symptômes suivants : dysphorie ou humeur dépressive, insomnie, irritabilité, sentiment de frustration ou de colère, anxiété, difficulté de concentration, agitation ou impatience, ralentissement du rythme cardiaque, augmentation de l'appétit ou prise de poids. Le besoin impérieux de nicotine est un élément important du syndrome de sevrage après l'arrêt du tabac.
- Les études cliniques ont montré que les produits de substitution nicotinique peuvent aider les fumeurs à s'abstenir de fumer en diminuant les symptômes de sevrage.
- La quantité de nicotine absorbée à partir d'un comprimé sublingual dépend de la quantité de nicotine libérée dans la cavité buccale et de celle qui est déglutie.
- La majeure partie de la nicotine libérée à partir d'un comprimé sublingual est absorbée au niveau de la muqueuse buccale. La biodisponibilité absolue de la nicotine par voie sublinguale est d'environ 50%. La biodisponibilité de la nicotine déglutie est plus faible en raison de l'effet de premier passage. L'intensité et la précocité des pics plasmatiques de nicotine observés après avoir fumé ont rarement été retrouvées après administration de NICORETTE MICROTAB CITRON.
- Les concentrations plasmatiques de nicotine atteintes à l'état d'équilibre après 10 prises espacées d'une heure d'un comprimé sublingual sont de l'ordre de 10 ng/ml. Après une utilisation ad libitum, la concentration plasmatique de nicotine est d'environ 8 ng/ml ce qui correspond approximativement à la moitié du taux de nicotine observé chez les fumeurs faiblement ou moyennement dépendants.
- Il est observé une légère déviation de la linéarité des ASC inf. et Cmax lorsque des doses uniques de 1, 2 ou 3 comprimés sont administrées. Cette déviation peut s'expliquer par le fait que lors de l'administration de doses élevées de nicotine, une plus grande fraction est déglutie et subit donc un effet de premier passage.
- Le volume de distribution après administration IV de nicotine est de 2-3 L/kg.
- La fixation aux protéines plasmatiques est inférieure à 5%. Par conséquent, la modification de la fixation de la nicotine aux protéines plasmatiques par interaction médicamenteuse ou par altération des protéines plasmatiques, n'a a priori pas de retentissement sur les paramètres cinétiques de la nicotine.
- Le métabolisme est principalement hépatique. La clairance plasmatique moyenne est d'environ 70 litres par heure et la demi-vie est approximativement de 2 heures. La nicotine est également métabolisée au niveau des reins et des poumons. Plus de vingt métabolites de la nicotine ont été identifiés, ils sont tous considérés comme moins actifs que la nicotine.
- Le principal métabolite plasmatique de la nicotine, la cotinine, a une demi-vie de 15 à 20 heures et sa concentration atteint des taux 10 fois supérieurs à celle de la nicotine.
- Les principaux métabolites excrétés dans les urines sont la cotinine (15% de la dose) et la trans-3-hydroxycotinine (45% de la dose). Environ 10% de la nicotine sont excrétés sous forme inchangée dans les urines. Ce taux peut augmenter jusqu'à 30% en cas de filtration glomérulaire importante ou d'acidification des urines (pH < 5).
- Insuffisance rénale :
Une augmentation de la sévérité de l'insuffisance rénale est associée à une diminution de la clairance totale de la nicotine. La clairance à la nicotine a été réduite d'environ 50% chez les patients souffrant d'insuffisance rénale sévère. Des taux de nicotine élevés ont été observés chez des patients fumeurs hémodialysés.
- Insuffisance hépatique :
Les paramètres pharmacocinétiques de la nicotine ne sont pas affectés chez les patients cirrhotiques avec une insuffisance hépatique légère (score de Child-pugh : 5), ils diminuent de 40 à 50% chez les patients cirrhotiques ayant une insuffisance hépatique modérée (score de Child-pugh : 7). Il n'y a pas de données disponibles pour les patients avec un score 7.
- La majeure partie de la nicotine libérée à partir d'un comprimé sublingual est absorbée au niveau de la muqueuse buccale. La biodisponibilité absolue de la nicotine par voie sublinguale est d'environ 50%. La biodisponibilité de la nicotine déglutie est plus faible en raison de l'effet de premier passage. L'intensité et la précocité des pics plasmatiques de nicotine observés après avoir fumé ont rarement été retrouvées après administration de NICORETTE MICROTAB CITRON.
- Les concentrations plasmatiques de nicotine atteintes à l'état d'équilibre après 10 prises espacées d'une heure d'un comprimé sublingual sont de l'ordre de 10 ng/ml. Après une utilisation ad libitum, la concentration plasmatique de nicotine est d'environ 8 ng/ml ce qui correspond approximativement à la moitié du taux de nicotine observé chez les fumeurs faiblement ou moyennement dépendants.
- Il est observé une légère déviation de la linéarité des ASC inf. et Cmax lorsque des doses uniques de 1, 2 ou 3 comprimés sont administrées. Cette déviation peut s'expliquer par le fait que lors de l'administration de doses élevées de nicotine, une plus grande fraction est déglutie et subit donc un effet de premier passage.
- Le volume de distribution après administration IV de nicotine est de 2-3 L/kg.
- La fixation aux protéines plasmatiques est inférieure à 5%. Par conséquent, la modification de la fixation de la nicotine aux protéines plasmatiques par interaction médicamenteuse ou par altération des protéines plasmatiques, n'a a priori pas de retentissement sur les paramètres cinétiques de la nicotine.
- Le métabolisme est principalement hépatique. La clairance plasmatique moyenne est d'environ 70 litres par heure et la demi-vie est approximativement de 2 heures. La nicotine est également métabolisée au niveau des reins et des poumons. Plus de vingt métabolites de la nicotine ont été identifiés, ils sont tous considérés comme moins actifs que la nicotine.
- Le principal métabolite plasmatique de la nicotine, la cotinine, a une demi-vie de 15 à 20 heures et sa concentration atteint des taux 10 fois supérieurs à celle de la nicotine.
- Les principaux métabolites excrétés dans les urines sont la cotinine (15% de la dose) et la trans-3-hydroxycotinine (45% de la dose). Environ 10% de la nicotine sont excrétés sous forme inchangée dans les urines. Ce taux peut augmenter jusqu'à 30% en cas de filtration glomérulaire importante ou d'acidification des urines (pH < 5).
- Insuffisance rénale :
Une augmentation de la sévérité de l'insuffisance rénale est associée à une diminution de la clairance totale de la nicotine. La clairance à la nicotine a été réduite d'environ 50% chez les patients souffrant d'insuffisance rénale sévère. Des taux de nicotine élevés ont été observés chez des patients fumeurs hémodialysés.
- Insuffisance hépatique :
Les paramètres pharmacocinétiques de la nicotine ne sont pas affectés chez les patients cirrhotiques avec une insuffisance hépatique légère (score de Child-pugh : 5), ils diminuent de 40 à 50% chez les patients cirrhotiques ayant une insuffisance hépatique modérée (score de Child-pugh : 7). Il n'y a pas de données disponibles pour les patients avec un score 7.
NICORETTE MICROTAB CITRON n'a pas ou peu d'incidence sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
- La nicotine a été positive dans certains tests de génotoxicité in vitro, mais des résultats négatifs ont également été observés avec les mêmes systèmes de tests. La nicotine a été négative dans les tests in vivo.
- Les études animales ont montré que la nicotine induit des pertes post-implantatoires et ralentit le développement foetal.
- Les résultats des études de carcinogénicité n'ont pas apporté d'arguments probants d'un effet cancérogène de la nicotine.
- Les études animales ont montré que la nicotine induit des pertes post-implantatoires et ralentit le développement foetal.
- Les résultats des études de carcinogénicité n'ont pas apporté d'arguments probants d'un effet cancérogène de la nicotine.
Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
Médicament non soumis à prescription médicale.
Comprimé rond et plat, de couleur blanche à blanc cassé, aux bords biseautés, portant la mention "N2" gravée sur une face.
Plaquettes thermoformées (Aluminium/Aluminium).
Boîte de 100 comprimés sublinguaux avec étui.
Boîte de 100 comprimés sublinguaux avec étui.